Arslan, Fahrettin2020-11-052020-11-0520091016-4537http://hdl.handle.net/11693/54407La traduction, dans J'histoire, a donne la primaute soit a la langue source, soit a la langue cible.En termes saussuriens, le traducteur, lorsqu'il a privilegie la source, s'est surtout soucie du signifiant, c'est-a-dire de la forme. Par contre, quand ii s'est tourne vers la langue cible, ce fut surtout au sens que la priorite fut accordee. Henri Meschonnic, poete, penseur, qui ecrit sur le langage, la litterature et done sur la traduction depuis presque quarante ans, denonce categoriquement la conception de la traduction centree sur le signe, c'est-a-dire sur le sens des mots. A !'inverse, ii nous propose une nouvelle conception de la traduction basee sur !'analyse du discours, theorisant ainsi une pratique deja existante. Cet article qui s'inspire des idees de Meschonnic, se propose de contribuer, en partant de la traduction par Oktay Rifat du premier vers du Spleen ( II) de Baudelaire, a la comprehension du processus de traduction.TurkishSigne linguistiquePoetiquePoemeLangageDiscoursTraductionMeschonnicBaudelaireOktay RifatÇeviri ne yaparArticle